6h00 La météo n'est pas très en accord avec mes projets. Je dois continuer de passer le karcher, mais il devrait avoir des averses dans la journée et surtout des rafales atteignant les 30 noeuds. Alors c'est sûr je vais être un peu mouillée avec le karcher, mais cela va pas s'améliorer avec des averses et du vent.
Mais avant cela, la priorité est à mon examen et je vais bosser sur mes révisions. Je verrais comment cela évolue dans la matinée.
11h00 Alors la météo n'est pas meilleure ici qu'en métropole, pas de pluie de la matinée. Donc départ pour mon second boulot : le bateau. Mon petit sac avec ma salade pour midi, mon balisto pour l'énergie, et ma bouteille d'eau pour la déshydratation (malgré le karcher et la pluie)... et c'est parti.
Mais bien sûr une journée sans incident ne serait pas une bonne journée donc... j'arrive au chantier, je sors le karcher, les tuyaux, la rallonge, je branche tout, je tourne le robinet, je tourne le bouton ON-OFF du karcher et là... rien. Alors je vais parler au monsieur d'à côté pour savoir si je peux échanger ma prise avec la sienne, au cas où, mais toujours rien. Là il me propose de me prêter sa rallonge, ce qui est super sympathique de sa part, mais toujours rien. J'appelle Dédé pour savoir si il y a une sécurité sur son karcher ou autre, mais non. J'appelle Didoux pour lui dire que nous avons cassé le karcher et que je suis bien embêtée. Il me dit de ne pas m'en faire que le karcher n'a surement rien et que je peux en emprunter un où il a acheté la peinture. Je vais donc de ce pas au magasin qui est juste en face du chantier, mais, car il y en a encore un, ils l'ont prêté et ils ne savent pas quand le client va le rendre.
12h00 Je remballe tout et me prépare à ramener le karcher chez Dédé pour qu'il puisse voir ce qu'il en est. Je vois avec le magasin pour repasser plus tard après ma course pour voir si le karcher est rentré. Donc départ pour Dumbéa, avec une halte chez Michel pour lui dire de ne pas passer au chantier (car il voulait venir m'aider) et je dépose rapidement le karcher chez Dédé qui verra le problème en rentrant de son travail.
13h00 Re-direction le chantier. Je vais voir au magasin mais le karcher n'a toujours pas rentré. Si j'attends il sera peut être là dans une heure. Vu que j'ai du rangement à faire à l'intérieur du Vayu, j'en profite et fais encore quelques sacs à amener chez Michel. J'avale en même temps un petit miam-miam sur le pouce et mets mes affaires dans la voiture. Et je vais pour partir.
14h00 Le miracle se produit. Je suis en train de fermer les portières quand la dame du magasin me fait des signes pour me dire que le kracher est enfin là ! Je ne vous dis pas à quel point je suis contente. Un peu moins quand je vois le monstre mais c'est un karcher de pro !
Et rebelote, je branche le tuyau, le raccord à la buse et j'ai plus qu'à tirer sur le... du moteur pour faire démarrer la bête. Ben c'est sans compter que je suis qu'une faible femme et que je n'arrive pas à impulser le bon mouvement pour que cela démarre. Mais heureusement, un autre voisin de bateau, à qui j'avais dit bonjour la veille m'a vu peiner et vient à mon secours. Et je peux enfin commencer mon travail avec près de trois heures de retard.
14h45 C'EST FINI, enfin presque. En 45 minutes, j'ai fait le reste de coques, mais il me reste le dessous qui comprend les safrans, les quilles et un petit fond plat qui attendra demain car mes bras ne veulent plus. Je remballe, rend le matériel au magasin. Et j'arrête pour aujourd'hui. Je vais rentrer prendre une bonne douche et m'allonger... pour reprendre mes révisions.
Voilà, les péripéties de la journée. Je n'ai pas de photo car il n'y a encore rien à voir que vous n'ayez déjà vu.
Tata bisous
Sacrée journée de m....tu dois avoir la tete en furie et les bras en compotes!!!!
RépondreSupprimerBisous et courage pour demain , demain qui sera une autre journée!!!
Une journée est une autre journée, mais elle lui ressemble.
SupprimerBisous